RED

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RED – Réseau d’échange et d’expérimentation pour la diffusion du cinéma documentaire

Responsables de salles de cinéma, de festivals, de structures associatives, de collectifs et d’institutions, tous engagés dans la diffusion du cinéma documentaire, nous sommes soucieux de défendre une approche créative du documentaire, d’en partager et d’en promouvoir la culture et la richesse avec le public et l’ensemble de ceux qui contribuent à le faire exister.

RED voit le jour aujourd’hui comme lieu de débat et d’expérimentation, de collaboration et d’échange.
RED nous permettra d’agir pour une meilleure circulation des oeuvres, de mettre en commun nos expériences, nos idées et nos ressources, d’étudier de possibles programmations communes, de combattre la dispersion ou l’isolement qui guettent parfois nos initiatives.

A l’heure où le terme documentaire recouvre une quantité imposante de films divers, où les manifestations qui le diffusent se multiplient, alors même que le formatage s’étend, notre engagement doit également contribuer à la réflexion sur les formes du documentaire et son esthétique. Si RED vise en premier lieu le développement de la diffusion du cinéma documentaire, nous entendons aussi qu’il prenne toute sa place dans la création cinématographique et son histoire.

Pour nous rejoindre ou simplement nous contacter : reseaudocnet.fr

« petite charte » d’engagement à RED
I. Chaque structure s’engage à intégrer sur son site internet une page web consacrée au réseau et incluant des liens vers les sites des autres structures adhérentes.
II. Chaque structure s’engage à apporter sa petite contribution au fonctionnement du réseau en alimentant régulièrement la liste de diffusion.
III. Chaque structure s’engage à assister aux réunions (au moins une par an).

Cliquez sur les liens ci-dessous pour accéder aux descriptifs des différentes structures :

– L’ACRIF
– L’ACOR
– ADDOC
– L’ALHAMBRA CINEMARSEILLE
– ASSOCIATION ARDECHE IMAGE LUSSAS
– LE CAFE DES IMAGES HEROUVILLE SAINT CLAIR
– CINEMA l’ETOILE LA COURNEUVE
– ESPACE MAGNAN
– FESTIVAL CINEMA DU REEL
– FESTIVAL EntreVues
– CINE NANTES LE CINEMATOGRAPHE
– DOC NET FILMS
– DOCUMENTAIRE SUR GRAND ECRAN
– LES ECRANS DOCUMENTAIRES
– FESTIVAL DEI POPOLI
– FID MARSEILLE
– FILMER A TOUT PRIX
– LE FOND ET LA FORME
– LE GNCR
– GULLIVER
– IMAGES EN BIBLIOTHEQUES
– PERIPHERIE & LES RENCONTRES DU CINEMA DOCUMENTAIRE
– PEUPLE ET CULTURE CORREZE
– PEUPLE ET CULTURE MARSEILLE
– LE P’TIT CINE
– VIDEO LES BEAUX JOURS
– VOIR&AGIR
– LES YEUX DE L’OUIE



20 – Le Fond et la Forme

Le Fond et La Forme, association loi 1901, est née le 29 décembre 2003. Notre action se situe au point de rencontre de deux mouvements : Promouvoir le cinéma documentaire et développer une offre culturelle de proximité à l’échelle du Pays Midi Quercy.
Le film documentaire est notre matière première. Il représente pour nous un vecteur puissant d’accès à la culture, d’ouverture sur le monde. Il peut aborder tous les sujets, proches ou lointains intimes ou sociaux. Objet à voir et à entendre, un documentaire est avant tout le fruit du travail d’un auteur, un regard, un point de vue sur le monde. En cela réside tout son intérêt.
Régulièrement, Le Fond et La Forme : assure la mise en œuvre des Hivernales du documentaire intervient dans le cadre de l’opération Lycéens et jeunes au cinéma dans des lycées de l’Aveyron, du Lot, du Tarn, du Tarn et Garonne encadre un atelier de pratique artistique et culturelle au collège de Caussade réalise des films documentaires et films institutionnels
En 2006 :
intervention dans le cadre d’un séminaire de maîtrise au département Archives et Médiathèques de l’université de Montauban membre du jury au festival « Filmer à tout prix » de Bruxelles encadrement d’un atelier au lycée Beauregard de Villefranche de Rouergue dans le cadre du concours « violences sexistes en milieu rural » du ministère de l’agriculture encadrement d’un atelier vidéo pendant le festival l’Eté de Vaour.
Président : Eric Lestrugue
Trésorière : Bernadette Guyot
Responsable projet : Béatrice Amiel
Administrateur : Jean-Michel Filiquier
http://leshivernalesdudoc.free.fr

 

ACOR – Association des cinémas de l’ouest pour la recherche

Créée en 1982, l’ACOR est une association inter-régionale implantée dans six régions de l’ouest de la France – Bretagne, Centre, Haute et Basse-Normandie, Pays-de-la-Loire et Poitou-Charentes. Elle regroupe une trentaine de structures (cinémas pour la plupart labellisés « recherche » et associations) tournés vers la défense de l’art et essai et de la recherche dans le cinéma. L’ACOR a pour principal objectif la mise en œuvre, seule ou en collaboration avec des partenaires extérieurs, de pratiques communes de programmation, d’animation et de promotion des films, destinés à favoriser la découverte de nouveaux spectateurs et la rencontre des publics avec des œuvres cinématographiques et audiovisuelles variées et de qualité.

L’ACOR : Scène Nationale à Dieppe (76) – l’Eden/le Volcan au Havre (76) – l’Ariel à Mont-Saint-Aignan (76) – l’Espace Aragon à Oissel (76) – Lux à Caen (14) – le Café des images à Hérouville-St-Clair (14) – le Majestic à Lisieux (14) – le Club 6 à Cherbourg (50) – le Dauphin à Plougonvelin (29) – l’Arvor à Rennes (35) – le Ciné-TNB à Rennes (35) – le Concorde à Nantes (44) – le Cinématographe à Nantes (44) – le Jacques Tati à Saint-Nazaire (44) – le Ciné-Club Yonnais à La Roche/Yon (85) – Atmosphère 53 à Mayenne (53) – les 400 Coups à Angers (49) – le Ciné-Poche au Mans (72) – l’Apollo à Châteauroux (36) – les « Studio » à Tours (37) – Ciné’fil à Blois (41) – les Carmes à Orléans (45) – le Vox à Château-Renard (45) – salle Nemo à Angoulême (16) – la Coursive, scène nationale à La Rochelle (17) – le Moulin du roc à Niort (79) – le Théâtre à Poitiers (86).

Depuis 1992, l’ACOR compose chaque année une programmation spécifique sur un nouveau thème et, depuis 1995, édite à cette occasion un ouvrage d’une cinquantaine de pages.

Après : LE CINEMA MEURTRI, un siècle de censure à l’écran, coordonné par Patrick Leboutte – Ed.Acor © 1995 (ouvrage épuisé) VIOLENCES DU CINEMA, coordonné par Carole Desbarats – Ed.Acor © 1996 LE PLAISIR DES LARMES, consacré au mélo, coordonné par Carole Desbarats – Ed.Acor © 1997 JE EST UN FILM, consacré au cinéma autiobiographique, coordonné par Alain Bergala – Ed.Acor © 1998 LA RAISON EN FEU ou la fascination du cinéma pour la folie, coordonné par Carole Desbarats – Ed.Acor © 1999 L’EPREUVE DU MONDE entre réel et fiction, coordonné par François Niney – Ed.Acor © 2000 DERRIERE LA PORTE I les secrets de famille, au cinéma, coordonné par Carole Desbarats – Ed.Acor © 2001 DERRIERE LA PORTE II pouvoirs du secret… au cinéma, coordonné par Carole Desbarats – Ed.Acor © 2002 MECANIC CINEMA machines, outils, objets divers, coordonné par Emmanuel Burdeau – Ed.Acor © 2003 LE PREJUGE DE LA RAMPE pour un cinéma déchaîné, coordonné par Bernard Benoliel – Ed.Acor © 2004

ACOR – Association des cinémas de l’ouest pour la recherche                                                                                                                   bureaux : Port de Vallée                                                                                                    49320 ST-SULPICE-SUR-LOIRE – FRANCE                                                                         tél : + 33 2 41 57 11 08                                                                                                       tél : + 33 2 41 57 14 03                                                                                             présidente : Geneviève Troussier / 06 80 32 36 21                                                          contact : Catherine Bailhache / 06 88 37 32 65

 

L’ACRIF

L’ACRIF – association des cinémas recherche en Ile de France – a été créée en 1981 par des programmateurs de salles de cinéma de la région parisienne et regroupe actuellement une quarantaine d’établissements. Autant de villes, autant de situations spécifiques et une ambition commune : faire connaître des lieux de cinéma qui proposent aux publics un travail singulier de programmation et d’animation.

Notre association a pour objets :

d’être un lieu de réflexion : elle permet aux équipes des salles de mettre en commun leurs expériences, d’échanger sur leurs pratiques et d’explorer de nouvelles pistes de travail,

de soutenir et favoriser la promotion de films qui, par leur aspect novateur et leur distribution plus fragile économiquement, éprouvent davantage de difficultés pour rencontrer un public : des films jeune public et tout public classés « art et essai et recherche « , des documentaires, des courts et des moyens métrages, des cinématographies étrangères peu connues,

de travailler à l’élargissement et à la formation des publics et des équipes, en organisant par exemple, « des journée ACRIF  » – colloque « Pour une jeunesse libre de ses choix les nouvelles pratiques cultuelles des français, Qu’est-ce qu’un film populaire ?… des journées de formation :  » présenter et accompagner les films documentaires auprès du jeune public » « atelier Ozu », « atelier Serge Daney »…..

d’être une force de proposition face à la nouvelle situation générée par la création des multiplexes et des cartes illimitées… et de favoriser, par effet de miroir, la réflexion sur l’identité de nos salles : lieux culturels et/ou commerciaux ? problématique de la transmission du cinéma aux publics, quelles modalités ? réinterroger l’action culturelle.

de coordonner lycéens et apprentis au cinéma en Ile de France, en partenariat avec l’association Cinémas Indépendants Parisiens. Ce dispositif a été initié en Ile de France par le Conseil régional dans le cadre de la convention de développement cinématographique entre l’Etat, la Région et le Centre National de la Cinématographie. Favoriser l’évolution du regard portée par les lycéens et les apprentis sur des cinématographies peu connus d’eux, voire rejetées, mettre en valeur leur capacité à cerner les enjeux d’un film, contribuer à donner à leur pratique du cinéma une autre dimension, plus ouverte et complexe que la simple approche du divertissement, tels sont les objectifs modestes et ambitieux de Lycéens et apprentis au cinéma en Ile de France.

De coordonner le Mois du film documentaire en Ile de France.

Nos actions ont pu se développer et se poursuivre grâce au soutien de la DRAC et du Conseil Régional Ile de France.

ACRIF                                                                                                                  Association des Cinémas de Recherche d’Ile de France                                                                                                                            57,rue de chateaudun – 75009 Paris                                                                                    tel : 01 48 78 14 18                                                                                                              fax : 01 48 78 25 35

www.acrif.org

ADDOC

Fondée en 1992, Addoc est un espace de rencontre et de réflexion qui réunit des cinéastes, des techniciens et toutes personnes engagées dans la création documentaire. L’association prend position dans les débats questionnant la définition de l’œuvre, le soutien à la création indépendante et à sa diffusion. Addoc défend particulièrement l’idée que le cinéaste est à l’initiative de l’œuvre. Lier questions pratiques, engagements esthétiques et politiques représente pour nous un prolongement et un enrichissement de notre métier de cinéaste.

1994, publication d’un premier Manifeste. Addoc se mobilise déjà contre la logique marchande du service public et affirme qu’avec elle « est escamotée la question de qui parle, qui regarde, qui écoute. Là où n’est plus à l’œuvre l’engagement d’un auteur, le spectateur n’est plus considéré comme personne et comme citoyen ».

2002, dix années de réflexion et d’échanges autour de nos pratiques ont permis d’élaborer les notions clefs actuelles du travail documentaire. Elles aboutissent à la publication du livre « Cinéma documentaire : manières de faire, formes de pensée », devenu ouvrage de référence.

2004, Addoc organise le premier Salon des Refusés du documentaire, en partenariat avec le Forum des Images. 554 films refusés, censurés ou amputés par les chaînes nationales hertziennes sont présentés au public pendant un mois. L’occasion de débattre de l’audimat, du formatage et d’interpeller le service public sur le sens de sa mission.

Aujourd’hui plus que jamais, il s’agit de réaffirmer notre volonté de donner du monde des représentations singulières qui nous engagent et engagent le spectateur. Nous considérons que c’est ainsi que notre association a le plus de chances d’enrichir le cinéma documentaire à venir.

Tous les troisième mardis du mois, les membres de l’association se réunissent à l’occasion du Conseil d’Administration.

Les ateliers

À l’initiative des uns et des autres naissent des ateliers qui reflètent nos préoccupations : ils traitent tout autant du pourquoi que du comment de nos films, de l’éthique que de la pratique. Ce travail aboutit à des débats publics dont les actes sont le plus souvent publiés. Les ateliers sont la vie même de l’association.

Quelques exemples : La police des images, Comment anticiper le réel , La part du style, Filmer le passé…

L’action politique

Addoc est engagée dans un travail d’analyse et de propositions concernant les réformes liées à la politique audiovisuelle (financement, définition de l’œuvre, statut des intermittents, droit d’auteur, droit à l’image…), aux côtés d’autres associations comme la SRF ou le Groupe du 24 Juillet. Addoc fait également partie de la coalition française pour la diversité culturelle.

Les rencontres

Addoc participe aux manifestations autour du monde documentaire comme le “ Cinéma du réel ” à Paris, les “ États généraux du documentaire ” à Lussas, les « Ecrans documentaires » à Arcueil, “ Doc en courts ” à Lyon. Addoc entretient des liens avec des associations nationales (Documentaire sur Grand Écran , Périphérie, Images en bibliothèque ) et internationales (Doc/It, Alados). Addoc souhaite promouvoir la mise en réseau des associations européennes de documentaristes.

La chaîne de projections

Un rendez-vous bimestriel est organisé autour de la projection d’un film documentaire en présence du réalisateur, le plus souvent dans un appartement. À chaque projection, le réalisateur du film invité choisit le film qui sera projeté au rendez-vous suivant. Depuis sa création, plus de 30 réalisateurs ont participé à la “ chaîne ”.

Le site internet et la lettre addocienne

Le site d’Addoc est un espace d’échange et de réflexion interne et externe à l’association mais aussi une mine d’informations autour de l’actualité du monde du documentaire. Une lettre d’information par courriel hebdomadaire et gratuite, « la lettre addocienne », résume les nouveautés sur le site.

Addoc est subventionné par le CNC, la Scam et l’Agence de l’eau Seine et Normandie.

Addoc – Association des cinéastes documentaristes                                                  14, rue Alexandre-Parodi                                                                                                 75010 Paris
tél : (+33) (0) 1 44 89 99 88
fax : (+33) (0) 1 44 89 89 11
www.addoc.net

 

L’Alhambra Cinémarseille

Un autre cinéma du côté de l’Estaque

Depuis 15 ans, l’Alhambra, équipement culturel de la Ville de Marseille, développe une action culturelle cinématographique permanente en vue d’être, du point de vue du cinéma et de la pédagogie, à l’échelle de l’aire marseillaise, un lieu de référence et un pôle d’excellence.

L’Alhambra, c’est le cinéma de tous les cinémas, dans sa grande et unique salle, son équipe propose au public des films et des rencontres avec : des films grands publics, des films pour les enfants, des documentaires, des films Art et essai, du patrimoine, des cycles, des ciné-concerts, des expositions…. Tous ces rendez-vous réunissent chaque année plus de 40 000 spectateurs.

Ce projet se développe dans sa relation avec le public, notamment les enfants et les jeunes. Ainsi, chaque saison, ce sont plus de 5 000 élèves issus des établissements scolaires des Quartiers Nord qui fréquentent régulièrement le cinéma dans le cadre des dispositifs scolaires (Ecole et Cinéma, Collège au Cinéma, Lycéens au cinéma).

Pôle régional d’éducation artistique et de formation au cinéma …

La dimension régionale de l’action de l’Alhambra se concrétise par, un travail de formation, de recherche pédagogique et aussi par le développement du site de Porquerolles comme lieu spécifique d’expérimentations. Dans ce cadre le Pôle produit et édite des outils pédagogiques : Praxinoscope, logiciel l’im@son, DVD (La place de l’expérience artistique dans le développement de l’enfant – entretien avec Philippe Meirieu, La vie cachée de la Durance), …

L’Alhambra et le documentaire

Le cinéma documentaire constitue un des axes fort du travail de diffusion : très régulièrement des films documentaires sont diffusés et souvent en exclusivité (Après, un voyage dans le Rwanda de Denis Gheerbrant, Le Ciel tourne de Mercedes Alvarez, Mur de Simone Bitton, A l’Ouest des Rails de Wang Bing, Rivers and Tides de Thomas Ridelsheimer,…) des avants-premières et séances spéciales (Un nom pour la BP 134 de Jeff Comminges, Allez l’OM de Vassili Silovic, Mères Amères de Bania Medjbar, …), des cycles (Intégrale Comoli/Samson sur la vie politique marseillaise, Richard Copans, Filmer l’Ecole, Rencontres tziganes, Des cinéastes dans la ville…).

Du côté de l’initiation, les ateliers mis en place proposent très souvent des situations pédagogiques qui permettent d’expérimenter un processus de création qui se situe dans le champ du cinéma documentaire. Enfin des films comme Nanouk l’Esquimau ou Chang sont diffusés aux enfants et enseignants des écoles qui suivent le dispositif Ecole et Cinéma.

A la fin de l’année 2004, un stage Varan financé par le Conseil Régional P.A.C.A a été accueilli à l’Alhambra et a permis à un public ne relevant pas des financements AFDAS de suivre un tel stage.

Contacts : Jean-Pierre Daniel, directeur ; William Benedetto, directeur-adjoint.

L’ALHAMBRA CINEMARSEILLE
2, rue du Cinéma
13016 MARSEILLE
tél : 04 91 46 02 83
www.alhambracine.com

Association Ardèche Images – Lussas

Permettre au plus grand nombre d’accéder à une connaissance théorique et pratique de la création documentaire, tout en oeuvrant à la constitution et au renforcement du réseau professionnel, reste l’objectif prioritaire de l’association fondée en 1979.

Depuis 1989, l’association Ardèche Images développe plusieurs pôles d ‘activités dans le village ardèchois de Lussas : un festival « les États Généraux du Film Documentaire », un pôle de formation national (résidences d’écriture et Master de réalisation de documentaire de création), un centre de ressources « la Maison du doc’ » et un pôle de formation international (résidences d’écriture, formations producteurs en Afrique, au Cambodge et en Sibérie).

Les États Généraux du Film Documentaire

En 1989, à l’initiative de la « Bande à Lumière » – association des documentaristes français – et d’Ardèche images, les États généraux du film documentaire sont nés de la nécessité de créer un espace de réflexion et d’analyse autour des enjeux esthétiques et économiques du documentaire , un lieu d’échanges et de rencontres ouvert à tous les professionnels du documentaire.

Manifestation à caractère non compétitif, nous aimons qualifier la manifestation « d’université d’été » plus que de festival.

Dès la première édition, permettre la rencontre des professionnels avec le public s’est imposé comme une nécessité. Notre volonté a été dès lors de renforcer l’engouement du public pour un genre cinématographique encore méconnu, le documentaire.

La ligne éditoriale de la manifestation s’affirme à partir de trois axes de programmations : les séminaires dont l’objectif est de développer sur deux à trois journées une réflexion théorique autour d’une thématique particulière : les programmations de films : regard sur la production annuelle francophone, découverte d’auteurs ou retour sur des filmographies oubliées, évolution du documentaire à l’étranger.

les ateliers et rencontres professionnels.

Informations :
Tel : 04 75 94 28 06
www.lussasdoc.com

La Maison du doc’, centre de ressources sur le cinéma documentaire

Créée en 1994, elle est née de la dynamique de diffusion et de production de films documentaires développée à Lussas depuis de nombreuses années. Elle a pour objectif d’accompagner la création documentaire en favorisant la diffusion des films à travers plusieurs missions : le repérage, le collectage et l’inventaire des films dans une base de données informatique (11 000 titres disponibles en ligne), l’archivage et la conservation de la mémoire du documentaire dans une vidéothèque (9 000 titres), la diffusion de l’information autour du documentaire en direction des professionnels et de l’ensemble des réseaux du savoir, de la formation et de l’animation socioculturelle.

Informations :
Tel : 04 75 94 25 25
www.lussasdoc.com

Le Master 2 de Réalisation de documentaire de création

Créé en 2000 dans le cadre d’un partenariat original avec l’Université Stendhal de Grenoble ce Master de réalisation documentaire de création propose à 12 étudiants (formation initiale et continue) une formation diplômante dont l’organisation et le contenu s’apparente à ceux dispensés par les Ecoles d’Art.

La pratique instrumentale des outils matériels et conceptuels du cinéma est au cœur de cet enseignement qui se déroule huit mois sur dix à Lussas sous la responsabilité d’intervenants qui allient tous une grande expérience de formation à une pratique de leur métier de cinéaste ou de techniciens.

Informations :
Tel : 04 75 94 05 31
www.lussasdoc.com

La formation à l’écriture documentaire ou « résidence d’écriture de lussas »

Ardèche images a mis en place, depuis 1997, une formation à l’écriture destinée à accueillir des auteurs-réalisateurs, y compris débutants.

La formation a pour objectif de permettre au stagiaire d’identifier les questions de cinéma qui présideront à la réalisation de son projet et de développer le travail d’écriture du projet afin de le proposer aux professionnels (producteurs, diffuseurs, etc). Encadrés, tout au long de la Résidence par un formateur principal, (auteur-réalisateur), les stagiaires bénéficient également de l’intervention de plusieurs autres professionnels :

un opérateur / réalisateur pour des exercices pratiques à la caméra en rapport avec chaque projet et deux réalisateurs qui viennent « lire » et analyser les projets à mi-parcours. Les séances de travail individuel alternent, durant toute la durée de la formation, avec une réflexion de groupe sur chacun des projets, nourrie du visionnement collectif (et individuel) et de l’analyse d’un nombre important de films documentaires (mais pas seulement).

Informations :
Tel : 04 75 94 05 31
www.lussasdoc.com

Les Rencontres de juin de Lussas

Mise en place en 2004 cette action professionalisante d’ampleur nationale est conçue comme un complément indispensable aux actions de formation ( Master, Résidence). Elle se propose en effet, dans le cadre d’un rendez-vous national, de permettre l’établissement toujours difficile d’un lien professionnel entre jeunes porteurs de projets, essentiellement élaborés dans le cadre des formations de Lussas, et le réseau des producteurs , jeunes ou confirmés.

Le dispositif propose de mettre en relation de travail pendant trois jours une quinzaine de producteurs et 25 stagiaires en vue de déclencher une collaboration effective.

Informations :
Tel : 04 75 94 05 31
www.lussasdoc.com

Les Rencontres de Saint Laurent

Les Rencontres de Saint Laurent se déroulent pendant les Etats généraux du film documentaire de Lussas. Destinées à faciliter la mise en production de documentaires de création et à renforcer le réseau professionnel, ces Rencontres réunissent des couples réalisateurs/producteurs, et les responsables des unités documentaires des chaînes de télévision françaises et francophones autour de projets « aboutis » dans leur écriture.

Les projets retenus doivent être présentés par un tandem réalisateur-producteur francophone en recherche de diffuseur et avoir obtenu une aide à l’écriture en 2004/2005 (CNC, Bourse « Brouillon d’un rêve » de la Scam, Résidence d’écriture de Lussas, Africadoc, Master de Lussas, Eurodoc, ou une aide à l’écriture octroyée par les instances régionales).

Informations :
Tel : 04 75 94 05 31
www.lussasdoc.com

Le café des images Herouville Saint-Clair

www.cafedesimages.fr/

Espace Magnan

www.espacemagnan.com/

Ciné Nantes – Le Cinématographe

Ciné Nantes- Le Cinématographe est une fédération de 11 associations de cinéma créée en 1997 en tant qu’Espace de formation des publics à l’image.

Depuis 2001 elle gère la salle du Le Cinématographe à Nantes et poursuit son travail de formation à l’image, qui se décline à travers la programmation du cinéma, des rencontres, des leçons de cinéma. Depuis sa création l’association accueille et accompagne tous les dispositifs scolaires et s’associe à des partenaires culturels dans l’enseignement supérieur.

La salle est classée Art et Essai, label Répertoire et Patrimoine et Jeune Public, mais sa programmation dépasse largement le cadre de ce classement en s’intéressant à tous les genres cinématographiques.

www.lecinematographe.com

Cinéma du réel – Festival international de films documentaires

Depuis sa création en 1978 par la Bibliothèque publique d’information, Cinéma du réel est un grand rendez-vous international du cinéma documentaire où public et professionnels découvrent à la fois les nouveaux films d’auteurs confirmés et les œuvres de nouveaux auteurs, les lignes et tentatives contemporaines comme le meilleur de l’histoire du genre. Cinéma du réel est un festival où rencontres, ateliers et expérimentations accompagnent la curiosité d’un public nombreux, fidèle et attentif.

Cinéma du réel – Festival international de films documentaires
25 rue du Renard
75197 Paris Cedex 04
Tél : +33 (0)1 44 78 45 16
Fax : +33 (0)1 44 78 12 24
Email : cinereelbpi.fr
Web : http://www.cinereel.org

Doc Net Films

Créée en 2002, l’association Doc Net Films a entrepris l’expérimentation de nouveaux modes de diffusion pour le documentaire de création : le DVD en suivant un concept d’éditions simples ainsi que les nouvelles technologies de visionnage en ligne. L’association rassemble aujourd’hui une trentaine de so-ciétés indépendantes de production de films documentaires.

Édition DVD

La stratégie de Doc Net Films repose sur deux niveaux d’intervention : d’une part le lancement d’une activité d’édition non commerciale, à prix coûtant, fondée sur le concept d’éditions simples, rendant accessible le ticket d’entrée du marché de l’édition pour les producteurs indépendants et d’autre part une présence affirmée dans les circuits de distribution alternatifs, hors grandes surfaces multimédia. Doc Net Films a édité 42 documentaires sur DVD et de nouveaux titres seront disponibles d’ici fin 2005. Quatre circuits assurent la distribution de ces DVD : le réseau institutionnel et non commercial, en partenariat exclusif avec l’ADAV ; la vente par correspondance (VPC) à partir de DocNet.fr ; les ventes directes des producteurs aux particuliers, par correspondance et dans les projections publiques, ou par l’intermédiaire de diffuseurs spécialisés ; les librairies indépendantes en régions Grand sud (à partir du second semestre 2006)

Vidéo à la demande

Depuis décembre 2003, Doc Net Films a intégré le service MaLigne TV proposé par France Telecom. 30 programmes ont été proposés en VoD aux abonnés à ce service et des négociations avec France Telecom sont actuellement en cours pour une nouvelle collaboration future. L’expérience du projet DIVIN confirme l’intérêt essentiel d’une plate-forme de VoD indépendante dédiée au documentaire de création.

Le site DocNet.fr

Le cœur de l’activité de Doc Net Films est le lancement d’une plate-forme de diffusion en ligne : DocNet.fr, portail du docu-mentaire de création. À son ouverture à l’automne 2005, le site aura une double fonction : donner des nouvelles des œuvres et du monde documentaire et donner accès à des films en proposant des extraits de ces films et la possibilité de les acquérir en DVD. Dans les phases suivantes de son développement, DocNet.fr concevra et proposera une offre de films documentaires en VoD puis une programmation.

Distribution de films documentaires en librairie

Une opération pilote de distribution en librairies indépendantes en région est en cours d’élaboration. Elle est basée sur une alliance entre les producteurs indépendants de régions, les conseils régionaux des Régions du grand sud et les libraires indépendantes de ces régions, convaincus que le livre et le documentaire font partie de la même famille.

Doc Net Films
Le village – 07170 Lussas
tél. 04 75 94 24 54
www.DocNet.fr

 

Documentaire sur grand écran

L’association Documentaire sur Grand Ecran a été fondée en 1990 par un groupe de passionnés du documentaire, composé de cinéastes : Michel Huillard et Simone Vannier, de critiques de cinéma : François Niney, Gérard Leblanc et Luce Vigo, de l’éthnologue-cinéaste Colette Piault, de Jean-Michel Ausseil, Secrétaire Général du FIPA, auquel s’était joint Richard Jean-Elie, directeur du Studio des Ursulines et dont François Barat, délégué général du GREC devint rapidement le président.

L’idée de promouvoir le documentaire en salle, en tant que film à part entière et non simple complément de programme, correspondait à un besoin, à un moment où le documentaire était particulièrement négligé par les programmations télévisuelles. Ce projet fut d’emblée encouragé par les institutions, le CNC finança une enquête auprès des cinémas « Art et Essai » sur les possibilités de projection 16 mm (le format habituel au documentaire) et décida de participer à la création de l’Association Documentaire sur Grand Ecran. Cet engagement fut immédiatement suivi par ceux de la SACEM, la SCAM, la DRAC Ile-de-France et de la PROCIREP qui, à l’exception de la DRAC Ile-de-France, continuent de nous dispenser leurs aides fidèles. A ces institutions se sont progressivement joints la Mairie de Paris (en 2000) et, ponctuellement, les Ministères du Travail, de l’Environnement, de la Culture, de l’Education Nationale et l’association France-Libertés pour soutenir des thématiques en résonance avec leurs missions.

La première manifestation eut lieu en novembre 1992 dans deux cinémas parisiens : l’Utopia, 7 rue Champollion 75005 Paris, tous les soirs à 18h l’Entrepôt, 7/9 rue Francis de Pressensé 75014 Paris, tous les dimanches de 14h à 24h et fut d’emblée très bien accueillie par la presse et le public.

Afin de faciliter la circulation des films en Région, l’Association se doubla très vite d’une Société de Distribution qui lui permet d’organiser des sorties nationales de longs métrages documentaires (entre autres : Dieu sait quoi de Jean-Daniel Pollet – Janvier 1997, Amsterdam Global Village de Johan van der Keuken – Octobre 1997, Vacances prolongées de Johan van der Keuken – Novembre 2000, Rétrospective des oeuvres majeures de Johan van der Keuken – Octobre 2001, Et la vie et Le voyage à la mer de Denis Gheerbrant sortis en synergie avec la 3ème édition du « Mois du Film Documentaire » en novembre 2002, Le génie helvétique de Jean-Stéphane Bron – Novembre 2004, La jungle plate de Johan van der Keuken – Octobre 2005).

Cette double activité (Paris et Région) a permis à l’Association Documentaire sur Grand Ecran de constituer un catalogue de 182 films pour lesquels elle signe avec l’ayant-droit un mandat de distribution d’une durée de 3 à 5 ans, où figurent les noms de cinéastes confirmés (Chris Marker, Robert Kramer, Amos Gitaï, Johan van der Keuken, Raoul Ruiz, Pierre Perrault, Fred Wiseman, Claire Denis, Agnès Varda, Georges Franju, Dominique Cabrera) et de nouveaux auteurs découverts au cours de douze années d’exercice.

La programmation régulière à Paris – actuellement au Cinéma des Cinéastes, depuis octobre 1996 – draine un public fidèle, sensible à la sélection rigoureuse de films proposée par l’association, à savoir, en 2004, une moyenne de 200 spectateurs chaque dimanche. Nous nous efforçons d’être avant tout des découvreurs et de faire place en priorité à des films inédits, à des productions indépendantes, et de prendre des risques que la télévision ne peut plus prendre. Nous atteignons notre but quand les chaînes programment des films que nous avons présentés en avant-première.

Notre action militante vise à faire progresser le genre majeur que représente le documentaire – genre fondateur du cinéma – en lui offrant le prestige et la magie des salles de cinéma et en le dotant d’un accompagnement pointu : présentation, débat, distribution gracieuse d’un document d’information, deux débats chaque dimanche aux séances de 18h et 21h, un colloque par trimestre sur une problématique majeure.

Nous souhaitons, de plus en plus, être une force de proposition et d’inspiration pour tous ceux qui souhaitent programmer des documentaires – associations, festivals, universités et, bien entendu, Cinémas de Recherche.

En dépit des discours auto-satisfaits, le documentaire est loin d’avoir obtenu la place qui lui revient. Faute de budget publicitaire, les auteurs de documentaires ne bénéficient pas de la renommée que mérite leur talent, cette renommée qui permet d’atteindre le grand public. Et pourtant le documentaire joue un rôle citoyen capital, celui d’éveilleur de conscience.

Notre ambition est de devenir l’Agence du Documentaire, un organisme de coordination professionnel, qui réunirait tous les services susceptibles de promouvoir les documentaristes et leurs œuvres.

site internet : www.doc-grandecran.fr/

Les Ecrans Documentaires

L’association Son et Image organise Les Ecrans Documentaires depuis 1997.

Le festival est l’ « héritier » du Festival Vidéo de Gentilly (ville voisine avec laquelle les liens restent forts) fondé en 1986 par Pierre Borker. Héritier d’un esprit et d’une philosophie de programmation largement ouverte de Denis Gheerbrant à Bill Viola, de Johan Van der Keuken ou Jean Daniel Pollet à Pierre Schaeffer, d’Elya Suleyman à Bertrand Bonello, Chantal Akerman ou Atom Egoyan.

Après plusieurs éditions « nomades » le festival s’est fixé à l’Espace Jean Vilar d’Arcueil depuis 2002, tout en continuant de proposer des programmations « décentralisées » (Campus de Jussieu, Cinéma des Cinéastes, Forum des Images, cinéma La clef…)

Le festival a aussi une « tradition » de collaboration avec d’autres structures pour la mise en œuvre d’Ateliers, Journées de réflexion, Débats : La dernière trace, filmer l’histoire, « Figures de la disparition », Qu’avez-vous vu à Sangatte ?, Qu’est-ce qu’un spectateur de documentaire ? L’expérience du montage, Regards sur l’image depuis la prison… ( Addoc, Acrif, ACID, Documentaire sur Grand Ecran, Les yeux de l’Ouie, Gulliver, Heure exquise !, Bandits Mages, Centre Wallonie Bruxelles, Ateliers Varan, Grec, Dess Jussieu Ecriture des mondes contemporains, EHESS, Agence du court Métrage, Ceci Moulin d’Ande…)

La manifestation se caractérise par des compétitions, intitulées « Premier Geste » en long, en cours, des parcours d’auteurs dans le but de rendre visible le cinéma documentaire de recherche et de patrimoine. En outre L’association développe depuis plusieurs années, au sein et autour du festival, en partenariat avec le Rectorat de Créteil, des actions en direction des publics scolaires et de leurs enseignants.

L’édition 2005 radicalise ses options en terme de compétition avec Premier Geste, la recherche de nouvelles écritures et nouveaux dispositifs pour des films conçus dans une économie fragile ou auto produits. Le Cabinet d’essai et de Curiosité ouvre en parallèle une perspective sur des films atypiques, des installations, des dispositifs, des performances cinématographiques.

Inscrit dans le « collectif expérimental » de diffusion du cycle Sergueï Loznitza, les Ecrans 2005 sont aussi partenaires du CECI Moulin d’Andé, pour une carte blanche et une rencontre sur les résidences d’écriture, « L’écriture, le geste, échanges d’expérience ». L’association Son et Image lançe cet automne « Cinéma de quartier », une expérience locale d’ ateliers de réalisation documentaire, et propose à cette occasion un premier « Observatoire des Ateliers de réalisation » en partenariat notamment avec Anis Gras, Le Lieu de l’autre et le groupe Boris Barnett.

Pour l’actualité en cours, Son Et Image est partenaire pour la diffusion de « un Monde Moderne » de Sabrina Malek et Arnaud Soulier (Prix 2004 des Ecrans) en salle depuis le 7 septembre.

Lancement des « Ateliers de Quartier »

Son et Image proposera un nouveau rendez les 9, 10 et 11 juin 2006, KINEMUSICA, autour de la création sonore et musicale au cinéma.

Tél. : 01.46.64.65.93
www.lesecransdocumentaires.org

EntreVues, Festival International du Film de Belfort

Créé par Janine Bazin en 1986, EntreVues s’est affirmé comme le festival des cinématographies ambitieuses, alliant une compétition de premières œuvres internationales à des rétrospectives thématiques et des hommages.

La compétition, ouverte aux premiers, deuxièmes et troisièmes films, résulte d’une sélection d’œuvres françaises et étrangères, courts et longs-métrages, fictions et documentaires. Au fil des années, de nombreux cinéastes débutants maintenant célèbres y ont été sélectionnés ou primés : Darren Aronovsky, Laurent Achard, Olivier Assayas, Jean-Claude Brisseau, Joao Botelho, Leos Carax, Pedro Costa, Chen Kaige, Dominik Moll, Katsuhito Ishii, Idrissa Ouedraogo, François Ozon, Nicolas Philibert, Paulo Rocha, Walter Salles, Lars Von Trier…

Les rétrospectives et les hommages mettent ce jeune cinéma mondial en perspective en cheminant à travers l’histoire de cet art vivant et universel.

De nombreuses rencontres entre cinéastes et public sont organisées, de même qu’entre professionnels lors de journées qui leur sont consacrées.

Depuis sa création, la manifestation connaît une fréquentation en constante augmentation, signe essentiel qui la conforte dans son ambition et nous permet d’affirmer qu’à l’exigence des auteurs répond toujours le plaisir des spectateurs.

Président : Jean-Pierre Chevènement

Déléguée générale et directrice artistique : Catherine Bizern

Délégué adjoint chargé de la coordination : Richard Gorrieri

www.festival-entrevues.com
festival.entrevueswanadoo.fr

Festival dei Popoli

Né en 1959 donc l’un des plus vieux festival de cinéma en Europe et le plus vieux comme festival spécialisé dans le documentaire il s’occupe d’organiser chaque année un festival international intégré par des débats, des séminaires et des sections thématiques. Mais depuis quelques années il se préoccupe aussi de la formation des jeunes et de la diffusion du cinéma documentaire. En ce qui concerne la formation, le Festival dei Popoli a organisé en 2002-2003 et avec le partenariat de Cinéma en Lumière (Marseille) et du département d’arts visuels de l’université d’Edinburgh, un projet de formation et d’accompagnement « Le réel en chantier » qui a retenu un important succès. En 2004 le Festival avec l’aide d’un agence de formation (CSCS de Pistoia) a organisé un cours très articulé « Doc ut Des » qui comptait sur la participation de spécialistes très renommés comme par exemple Jean-Louis Comolli. Le cours comprenait la réalisation d’un court-métrage qui a été présenté au public lors de la 45ème édition du Festival dei Popoli. Le cours a été suivi par un stage d’un mois et demi que les étudiants ont réalisé en différents lieux et pays. Par exemple trois d’entre eux ont travaillé avec Cinéma en Lumière à Marseille. En ce qui concerne l’édition 2005, le Festival a décidé, toujours en partenariat avec l’agence de formation CSCS, avec Cinéma en Lumière (Marseille) et avec finalement le département d’arts visuels de l’université d’Edinburgh, d’organiser une deuxième édition de Doc ut Des qui commencera au début du mois de septembre prochain.

En ce qui concerne la diffusion, le Festival, qui depuis de nombreuses années a créé une archive de 9.000 titres (films 35 et 16 mm, betacam, Umatic, VHS et DVD), une importante collection de photos et de listes de dialogues ainsi qu’une collection de livres, revues, catalogues etc. – a établi toute une série de collaborations avec les écoles, les universités, les expositions d’art, les salles d’essais et a ainsi encouragé et renforcé la promotion du documentaire.

Le Festival dei Popoli est membre de la coordination européenne des festivals de cinéma. D’ailleurs la coordination, d’un point de vue juridique, est née en 1994 à Florence au cours du Festival dei Popoli qui, representé par moi, a fait partie du conseil d’administration pendant les premières trois années.

Mario Simondi, Directeur

FESTIVAL DEI POPOLI
Istituto Italiano per il Film di Documentazione Sociale ONLUS
Borgo Pinti, 82/R
50121 Firenze – Italia
Tel. 0039 055 244778
Fax 0039 055 241364
www.festivaldeipopoli.org

FID MARSEILLE

www.fidmarseille.org

FILMER A TOUT PRIX

www.fatp.gsara.be/fr/

GNCR – Groupement National des Cinémas de Recherche

Le Groupement National des Cinémas de Recherche est né en 1991 avec le soutien du CNC, et le désir de différents lieux cinématographiques de se regrouper pour défendre et soutenir des œuvres contemporaines singulières et novatrices.

Le GNCR réunit, à ce jour, 250 établissements cinématographiques et 8 associations régionales avec qui il affirme quotidiennement son engagement pour la découverte des jeunes auteurs, la diffusion de documentaires, de courts métrages, de moyens métrages et de toutes les nouvelles formes de création au carrefour du cinéma, de la vidéo, du numérique et des arts plastiques.

Cette mise en réseau constitue aussi pour ses membres un espace permanent d’échanges et de réflexion sur les pratiques et expériences professionnelles de chacun. En lien étroit avec les organisations professionnelles concernées par ces mêmes enjeux, tant du côté de la production que de la distribution, ou de l’action culturelle, le GNCR s’inscrit délibérément dans une réflexion collective, en mouvement, au service d’un cinéma d’auteur exigeant et créatif.

Depuis sa création, le Groupement a apporté son soutien à plus de 400 films, dont plus d’une cinquantaine de documentaires, et plus que jamais nous croyons en notre travail de montreur de films, de découvreurs et de passeurs.

www.cinemas-de-recherche.org

 

Gulliver

Gulliver se destine à la présentation de films documentaires.

A l’instar du célèbre voyageur, il pratique le changement d’échelle et ne craint pas la terra incognita. Gulliver mélange les genres et confronte des univers visuels et sonores différents, aux frontières du cinéma documentaire, notamment art vidéo et fiction.

Depuis deux ans, Gulliver a conduit le public en Asie, chez les Belges, à Berlin, au Portugal… Gulliver a par ailleurs présenté en 2002 une après-midi thématique sur la famille au festival Les écrans documentaires, et s’est intéressé en 2004 aux « Figures de la disparition » à travers quatre films et un débat.

Images en Bibliothèques

Images en bibliothèques a une triple vocation : valoriser les collections cinématographiques et audiovisuelles des vidéothèques, œuvrer pour la reconnaissance d’un savoir-faire collectif et d’une identité professionnelle, animer le réseau des « bibliothécaires de l’image ». Elle propose ainsi à ses adhérents des sélections de films documentaires de qualité, encourage la réflexion sur la communication des œuvres, facilite les échanges interprofessionnels et le partage de l’information, et dispense des formations au plus près des besoins professionnels. En coordonnant la mise en œuvre du Mois du Film Documentaire, l’association s’inscrit dans une dynamique de partenariat avec d’autres acteurs de la culture et de l’éducation.

Attentive aux avancées technologiques et à leur impact sur les pratiques et les usages, Images en bibliothèques apporte aux vidéothécaires les éléments de réflexion et d’anticipation indispensables à l’évolution de leur métier. Parce qu’elles détiennent des collections encyclopédiques de référence, que font vivre des professionnels exigeants, les vidéothèques rendent aujourd’hui accessible au plus grand nombre le patrimoine cinématographique et audiovisuel. A l’écoute de ses adhérents, Images en bibliothèques est porteuse d’une ambition collective : favoriser la rencontre entre le public et les œuvres cinématographiques.

Images en bibliothèques
21 rue Curial
75019 Paris
Tél et fax : 01 43 38 19 92
www.imagenbib.com

 

Périphérie

vingt ans de soutien à la création documentaire en Seine-Saint-Denis

Historique

Issu de l’Unité “audiovisuel” de la Maison de la Culture de la Seine-Saint-Denis, Périphérie est un centre de ressources audiovisuelles, implanté en Seine-Saint-Denis depuis plus de quinze ans et soutenu par le Conseil Général.

Dès l’origine, son action a été centrée autour du soutien à la création, notamment documentaire.

Le soutien à la création documentaire a pris la forme d’une aide en industrie et en moyens techniques (montage et post-production vidéo) qui s’appuyait sur la logistique d’une société de production partenaire. Plus d’une centaine de films ont ainsi été aidés, en coproduction avec des réalisateurs et des producteurs indépendants.

Par la suite, elle s’est développée le long de deux axes nouveaux : la diffusion de films documentaires en partenariat avec les salles de cinéma du département ; l’éducation à l’image, à travers une activité d’ateliers dans les établissements scolaires et l’organisation de stages de formation. De l’aide à la création à la diffusion auprès des publics, en passant par la transmission des savoirs et la valorisation du patrimoine, Périphérie possède aujourd’hui une palette de compétences qui lui permettent de faire au mieux le lien entre créateurs et publics.

Un outil renforcé au service de la création documentaire

Le lancement, en 2003, du dispositif « cinéastes en résidence » et la mise en place d’une mission patrimoine ont permis à Périphérie d’étoffer encore son champ d’activité. « Cinéastes en résidence » délivre une aide en industrie grâce à la mise à disposition de moyens de montage et de post production en vidéo numérique, permet aux résidents de bénéficier d’un accompagnement artistique et technique, et mène un travail d’action culturelle autour des films accueillis.

La mission patrimoine a pour mission d’aider à la valorisation du patrimoine cinématographique documentaire de la Seine-Saint-Denis.

Ces nouvelles actions complètent et renforcent « Les Rencontres du cinéma documentaire » qui sont devenues en 10 ans un rendez-vous important autour du documentaire de création et le pôle « Education à l’Image » qui est un partenaire incontournable pour tous ceux qui désirent mieux appréhender ce qu’est le cinéma documentaire.

Les Rencontres du cinéma documentaire

Les rencontres du cinéma documentaire sont pensées comme un lieu d’échange et de parole, de réflexion et de découverte, original et transversal, en Seine-Saint-Denis, où se retrouvent tous les professionnels du cinéma documentaire, réalisateurs, producteurs, collaborateurs de création, diffuseurs, distributeurs de cinéma mais aussi critiques, spectateurs.

Le documentaire n’est pas un genre en soi dans lequel tous les films se ressembleraient, ce n’est pas un mot qui permettrait de les qualifier tous. C’est, comme la fiction, une catégorie variable et éclatée ou tout simplement une manière de faire du cinéma. C’est cette manière de faire que chaque année nous tentons d’interroger et d’aborder de façon différente. Les Rencontres sont ainsi l’occasion de montrer des œuvres singulières, qui nous touchent par l’engagement de leur auteur, mais aussi de faire écho aux préoccupations du moment des uns et des autres et de rendre compte du travail et de l’expérience de chacun. Au centre de chacune des éditions des Rencontres, il y a la démarche des cinéastes, leur pratique et le travail d’élaboration des films.

Déléguée générale : Catherine Bizern

Coordination : Abraham Cohen

Attachée de presse : Anne Berrou

Périphérie
Direction : Michelle Soulignac
Président : Jean-Patrick Lebel
40 rue Hector Berlioz – 93 000 Bobigny
tel : 01 41 50 01 93 / Fax : 01 48 31 95 45
www.peripherie.asso.fr

 

Peuple et Culture Corrèze

Plaisir de partager collectivement des émotions cinématographiques, humaines et politiques, questionnement sur soi et sur le monde…

C’est ce pari que nous avons eu envie de tenir quand nous avons commencé, en octobre 2001, à imaginer et à construire peu à peu un réseau de diffusion du cinéma documentaire (renouant ainsi avec toute une partie de notre propre histoire et de celle du cinéma, quand Alain Resnais, Chris Marker, Joris Ivens, René Vautier, Georges Rouquier, ect … étaient au « programme » des ciné-clubs de Peuple et Culture dans les villages et les usines).

Quatre années après…

L’intuition que nous avions eue que le cinéma documentaire méritait et avait la capacité (de par ses contenus, ses formes) de rencontrer un public large y compris en territoire rural s’est révélée juste et féconde au-delà même de nos espérances On peut vraiment dire qu’un public s’est constitué et s’élargit peu à peu. Et en quantité :

Les séances (une cinquantaine par an) rassemblent de trente à une centaine de spectateurs et le réseau de diffusion comprend actuellement six points :

Tulle (les Mercredis du Doc et les Journées Thématiques)

St Mexant (Foyer Culturel)

St Jal (Amicale Laïque, avec la complicité et bien souvent la présence du maire et de plusieurs élus.

Uzerche (Musicas Dreibidas), avec le soutien de la municipalité qui met le cinéma Le Rex à disposition.

Gumont (Doc à la Grange chez Yves et Sylvette Lidove).

Chameyrat (Quand le documentaire donne envie de changer le monde…, au château de Poissac, chez la famille Dreyfus).

Des partenariats réguliers se sont établis avec le cinéma Le Palace à Tulle, , les cinémas Rex à Brive, le Foyer de Jeunes Travailleurs à Tulle, la Confédération Paysanne, ATTAC, le collectif Corrézien pour la sortie du nucléaire…

Et surtout en qualité :

Assez vite des groupes de spectateurs se sont impliqués dans le choix de films et dans l’organisation des projections. Ce phénomène s’approfondit largement et bien sûr, il est nourri par une pratique de visionnage de films et par la participation d’un nombre non négligeable de personnes (26 participants pour 2004) aux festivals et rencontres documentaires (Lussas, Marseille, Beaubourg, Traces de vie).

Là réside notre spécificité et notre expérience (liée à l’histoire de l’éducation populaire avec laquelle nous n’avons jamais rompu même si à certaines périodes nous avons subi de fortes traversées du désert et beaucoup de condescendance). Cette spécificité, c’est « l’autoformation », c’est apprendre en apprenant aux autres et apprendre d’eux, c’est la possibilité d’autoconstitution d’un public. Non, le modèle institutionnel (des spécialistes, des professionnels de l’art et de la culture « programment » puis « communiquent » pour convaincre « les publics ») n’est pas un modèle unique. En tout cas dans cette expérience naissante, il est bien clair que, même aux fins fonds de la Corrèze, le désir que nous avons tout simplement, de faire partager à d’autres, à l’endroit où nous vivons, les films que nous aimons est un formidable réservoir d’énergie.

site : perso.wanadoo.fr/pec19

Peuple & Culture Marseille

Un collectif d’éducation populaire / Une ambition : le partage de la culture, les échanges et la construction des savoirs / Des convictions : “…nous parlons à l’intention de ceux qui veulent savoir, de ceux qui se trouvent sur cette terre avec pour projet un apprentissage permanent, de ceux qui veulent être surpris par tout sans en être désorienté (…) ; “l’élite ? Celui qui a fait de son éducation un jeu d’exigences suprêmement libre” (Juan-Gil Albert, 1959) / Deux axes privilégiés : l’image et la langue / Des formes multiples : ateliers de pratique artistique, projections de cinéma documentaire, rencontres d’écrivains et de cinéastes, échanges interculturels, formation / Des espaces pluriels : des lieux communs “où une pensée du monde rencontre une pensée du monde” (Edouard Glissant, 1996).

En cours et à venir :

Littérature en effet

Rencontres d’écrivains pour découvrir la littérature francophone, de France et d’ailleurs. A travers une lecture publique et un atelier d’écriture, animé par l’auteur, toucher à l’étrangeté de la langue.

Ecrivains invités les prochains mois : Virginie Buisson, Gérard Noiret, Guillaume Le Touze et Anouar Benmalek.

Mise en place d’un atelier régulier d’écriture et de montage littéraire (sous réserve).

Traverses documentaires

Projections-débat pour découvrir des films dont la force tient à la réalité qu’ils éclairent ou aux questions qu’ils posent tout en interrogeant les formes esthétiques.

Séances prévues les prochains mois : Cycle Sergueï Loznitsa (mois du documentaire), Figures de l’étranger, Entrelangues.

Stages de formation

Des espaces de formation des acteurs associatifs pour acquérir des connaissances et des démarches pour la mise en œuvre d’actions autour des œuvres littéraires, photographiques et cinématographiques.

“Le cinéma documentaire : approche culturelle et pédagogique”, stage franco-allemand programmé du 2 au 9 juillet 2005 en partenariat avec le Festival International du Documentaire de Marseille.

“Le montage visuel et sonore”, stage prévu en fin d’année 2005 (sous réserve).

Publication

Lancement de Voix de traverses, une publication gratuite à parution aléatoire, en résonance aux actions proposées.

Le premier numéro (juin 2005) est consacré à Des gestes du travail à l’œuvre, séance de Traverses documentaires programmée le 7 juin 2005 au Polygone étoilé (Marseille, 2ème), autour de la projection de deux films – La peau trouée de Julien Samani et Fabric de Sergueï Loznitza – qui donnent à voir et à réfléchir des gestes du travail dans leur dimension archaïque, universelle et atemporelle. Critiques des films, entretiens avec les cinéastes et contributions au débat jalonnent ce numéro.

Peuple & Culture Marseille
52 rue Abbé de l’Epée
13005 Marseille
Tél. : 04 91 42 87 63 / 06 80 65 36 26
Contact : Pierre Guéry / Cathy Vivodtzev

Le P’tit Ciné

Le P’tit Ciné est une association de diffusion et de production de films documentaires. Nous organisons des projections documentaires régulières à Bruxelles depuis juin 1995. Nous proposons des rendez-vous mensuels à l’Espace Delvaux, au Cinéma Arenberg et au Musée du Cinéma de la Cinémathèque. Trois lieux très différents (Centre Culturel, Cinéma d’art et d’essai, Cinémathèque) et très complémentaires qui permettent de proposer une approche globale du cinéma documentaire. De plus, chaque été, nous organisons une petite sortie de quelques films non-distribués en Belgique dans le cadre de l’Ecran Total au Cinéma Arenberg. Chaque année d’autres lieux se joignent à ceux-ci, pour des collaborations plus ponctuelles.

De juin 1995 à août 2005, le P’tit Ciné a organisé pas moins de 300 séances de cinéma documentaire en salle (sans compter ses participations aux différentes éditions des festivals Filmer à tout Prix). Au total ce sont environ 400 films, pour la plupart inédits en Belgique, qui ont été diffusés. Nous avons par ailleurs accueilli plus de 175 invités aux séances (réalisateurs, producteurs, cadreurs, monteurs, diffuseurs, spécialistes, acteurs de terrain, protagonistes des films…) et mené plus d’une centaine de débats autour des films.

En plus de ses activités mensuelles, Le P’tit Ciné organise depuis 1998, des rencontres documentaires autour de la question du travail, de ses mutations et de sa représentation dans le cinéma intitulées « Regards sur le travail ».

L’accent est mis sur la convivialité des séances, le confort de vision, l’accueil, la présence d’un invité, le débat en salle et un énorme travail d’information et de diffusion des programmes en direction de publics spécifiques (milieux associatifs, scolaires, mais aussi diffuseurs potentiels, etc) en plus du public culturel.

Le P’tit Ciné publie tous les mois un périodique/programme gratuit disponible par la poste sur simple demande ainsi qu’une lettre d’information envoyée par email reprenant l’actualité du P’tit Ciné et l’information sur d’autres projections intéressantes dans le domaine.

Le P’tit Ciné
Javier Packer y Comyn
Rue du fort, 5 – 1060 Bruxelles – Belgique
Tél/fax : +32 2 538.17.57
www.leptitcine.be

 

Vidéo les beaux jours

www.videolesbeauxjours.org/

 

Voir&Agir

À partir d’un catalogue raisonné de documentaires, utiles à la réflexion et au débat sur les grands problèmes de société, l’association Voir&Agir a pour ambition de favoriser la rencontre entre le film et son public : associations et collectifs, spectateurs et usagers, lieux de projection, réalisateurs et producteurs, mouvement social et acteurs culturels.

Distributeur non-commercial, Voir&Agir propose à la vente les titres du catalogue, en cassettes ou DVD :

• soit pour une utilisation dans le “cercle de famille”, au domicile privé,

• soit pour une utilisation « institutionnelle », comme outil de sensibilisation ou de formation, réservée aux associations et institutions en leur sein.

Pour les projections-débats, pour lesquelles une rémunération proportionnelle des auteurs-réalisateurs et des producteurs est légalement exigible, Voir&Agir est habilité à offrir des solutions adaptées à toutes les configurations.

Voir&Agir s’implique pour que soient respectés les droits de diffusion, qui contribuent à faire vivre les producteurs indépendants de films sans lesquels il n’y aurait pas de pluralité d’expression.

L’association organise « Les rendez-vous du documentaire engagé » avec le journal Politis, une fois par mois à La Clef à Paris, avec la participation des réalisateurs, de membres du Conseil scientifique d’Attac, de chercheurs, de militants syndicaux et associatifs, de journalistes. Elle conseille d’autres groupes organisateurs, ou les met en contact avec le réalisateur, la réalisatrice, et des intervenants pour animer les débats.

Enfin, Voir&Agir travaille avec divers partenaires comme la Coordination Pour un Autre Cinéma, des distributeurs indépendants (Documentaire sur grand écran, EuroZoom, Ad Vitam…), des organisateurs de projections non-commerciales…

Voir&Agir
La Cathode
119 rue Pierre Sémard
93000 Bobigny
Tel : 01 48 30 81 60
www.voireagir.org

Les yeux de l’ouïe

www.latelierdesyeuxdelouie.com/

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